• Un Australien qui s'était endormi entre les rails d'une voie de chemin de fer s'en est miraculeusement sorti avec quelques égratignures après le passage d'un train, a indiqué ce vendredi la police.

    Le jeune homme de 20 ans faisait un somme allongé sur la voie lorsqu'un train est arrivé, jeudi à l'aube, à Port Augusta, dans l'Etat d'Australie méridionale. Le conducteur a aperçu l'imprudent dormeur, ivre selon la presse locale, mais n'est pas parvenu à stopper la locomotive, laquelle a poursuivi sa route. Le jeune homme assoupi dans un léger creux en a été quitte pour quelques égratignures, a indiqué la police.

    "C'est vraiment un coup de chance qu'il se soit allongé de cette manière et que le train soit en fait passé au-dessus de lui au lieu de lui rouler sur le corps", a déclaré au journal The Australian le directeur de la compagnie ferroviaire Freightlink, Tony Aldridge.

    Le jeune miraculé a été hospitalisé mais devait sortir dès ce vendredi.

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  • Le tribunal correctionnel de Tongres a condamné ce mercredi un homme de 43 ans à rembourser intégralement 15.822 euros d'indemnités versées par sa mutuelle dans le cadre de l'assurance maladie. Le prévenu avait été victime, en février 2003, d'un accident du travail alors qu'il percevait depuis deux ans... des indemnités pour cause de maladie. Il a également écopé de six mois d'emprisonnement avec sursis et d'une amende de 500 euros.

    Alors qu'il était en congé de maladie depuis avril 2001 et qu'il émargeait à la mutuelle, le prévenu s'était fait engager par un bureau d'interim. A la réception, en février 2003, d'une déclaration d'accident de travail de son affilié, la mutuelle a ouvert une enquête et le pot aux roses a été découvert. L'affaire a finalement été portée devant les tribunaux.

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  • Un vol peu ordinaire a été commis dernièrement dans un hangar de la rue Martin à Tertre (Saint-Ghislain), a indiqué ce mardi la police de la zone boraine. Lundi, des agents ont en effet été amenés à établir un constat relatif à la disparition d'une grue de chantier pesant environ 3,5 tonnes.

    Pour l'instant, on ignore qui sont les auteurs de ce fait et surtout, de quelle manière ils ont opéré pour emporter l'engin. Une enquête a été ouverte.

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  • Une truie transgénique phosphorescente a donné naissance à deux cochonnets qui peuvent également émettre une lumière verte en pleine obscurité, ont indiqué mercredi les médias chinois.

    La truie est l'un des trois cochons qui, alors qu'ils étaient embryons, s'étaient vu injecter une protéine verte phosphorescente, par des chercheurs du nord-est de la Chine, à la fin de l'année 2006. Au total, la truie a donné naissance à 11 petits, mais seulement deux sont également phosphorescents.

    Lumière verte
    "Le groin et les langues des deux cochonnets émettent une lumière verte lorsqu'ils sont sous des ultraviolets, ce qui indique que la technique de reproduction des cochons transgéniques via transfert nucléaire est mûre", a affirmé Liu Zhonghua, professeur à l'Université agricole du nord-est, à Harbin.

    M. Liu a jugé que cela pouvait permettre d'espérer de disposer de "cochons spéciaux pour fournir à l'avenir des organes pour des opérations de transplantations pour les humains". Le transfert nucléaire est le passage du noyau d'une cellule à une autre cellule, préalablement vidée du sien, ce qui est notamment utilisé pour le clonage. Selon Chine Nouvelle, l'équipe de M. Liu utilise une technologie employée auparavant par des scientifiques américains, japonais et sud-coréens.

    En janvier 2006, des chercheurs taïwanais avaient fait naître trois cochons phosphorescents, qui viraient au vert dans le noir. Ils avaient parlé d'une percée "très importante" dans la recherche sur les cellules souches, en particulier pour suivre le développement de tissus quand des cellules souches sont employées pour générer de nouveaux organes humains destinés à en remplacer d'autres déficients.

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  • Un enfant mexicain de 10 ans qui ne voulait pas retourner à l'école lundi, jour de la rentrée des classes, a utilisé une colle industrielle pour se coller une main à l'armature de son lit.

    "Je ne savais pas comment éviter (de retourner à l'école). Je me suis dit que si j'étais collé au lit, ils ne pourraient pas m'obliger à aller à l'école (...) Je ne voulais pas y aller, c'était trop bien les vacances", a déclaré l'enfant, nommé Diego.

    Après des tentatives infructueuses de la mère de Diego, les services médicaux d'urgence et de la Protection civile sont parvenus à séparer la main droite du mineur de la tête de lit métallique avec un spray qui a permis de dissoudre le produit chimique, sans blesser l'enfant. Après l'intervention, Diego a pu regarder un moment des dessins animés avant de devoir se rendre à l'école, où il est arrivé avec quelques heures de retard.

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